Poème sur le quotient familial

S ouvent l’impôt s’impose et taxe sans relaxe.
Mais quant à vos enfants, au mariage ou au PACS,
il réduit votre IR de l’engagement marital,
en accordant des parts d’un gâteau familial.

Celui qui n’aime pas et reste sans conjoint
n'aura qu’une part, pour éviter l’embonpoint !
Mais pour les cadors qui ont trouvé l’âme sœur,
une deuxième part fera tout leur bonheur.

Si la fête nuptiale accouche d’un présent,
le premier enfant n’aura qu’une demi part
comme le cadeau suivant, son cadet vivant.

Et si les jeux de l’amour font bien le hasard
viendra un troisième au moins, ou plus de bambins,
et chacun portera une part en son sein.


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